Un Centre dédié à la recherche sur André Gide

Le Centre d’Études Gidiennes a vocation à coordonner l'activité scientifique autour de Gide, diffuser les informations relatives aux manifestations gidiennes et à rendre visibles et accessibles les études qui lui sont consacrées.
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Stephanie Bertrand Jean-Michel Wittmann
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Dugas Guy, « Gide, Loti, de Max », Bulletin des Amis d'André Gide, n° 121, janvier 1999, p. 79-82.

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Martin Jean-Pierre, « Gide lecteur de Michaux », Bulletin des Amis d'André Gide, n°105, janvier 1995, p. 71-76.

Yoshii Akio, « Découvrons Henri Michaux d'André Gide. », Bulletin des Amis d'André Gide, n° 167, juillet 2010, p. 311-332.

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Millot-Nakach Geneviève, « Jean Malaquais (1908-1998) », Bulletin des Amis d'André Gide, n° 121, janvier 1999, p. 101-104.

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Claude Jean, « Hommage à Jean Meyer (1914-2003) », Bulletin des Amis d'André Gide,  no 138, avril 2003, p. 249-262.

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Nivet Jean-François, « Gide et Mirbeau », Bulletin des Amis d'André Gide, n°81, janvier 1989.

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 Michel Eugène, « Calcul de la créativité artistique chez Mallarmé, Gide et Valéry. », Bulletin des Amis d'André Gide, n°128, octobre 2000, p.511-514.

Rouart Eugène, « Souvenirs sur Stéphane Mallarmé », Bulletin des Amis d'André Gide, n° 62, avril 1984, p.87-89.

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Heinemann Henri, « L'AAG en visite. », Bulletin des Amis d'André Gide, n° 143-144, juillet-octobre 2004, p. 335.

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C'est un ouvrage singulier, inattendu, plus dense que tous les précédents, qu’André Gide publie en 1921, aux éditions de La Nouvelle Revue Française, sous la forme d’une anthologie personnelle de son œuvre intitulée Morceaux choisis, en parallèle d’une édition similaire à destination du public adolescent chez l’éditeur Georges Crès. Ce recueil d’analectes, né d'une sélection personnelle de l'auteur auquel les critiques de l’époque ont souvent reproché de se dérober, conjure la hantise de la dissémination arbitraire par le rassemblement de textes particulièrement variés et offre aux fidèles autant qu’aux détracteurs d’André Gide une nouvelle perspective sur la production de ce dernier.

En s'écartant provisoirement de la trajectoire accumulative qui consiste à bâtir l'unité de l’œuvre par la succession des publications, André Gide déplace son art dans un chemin de traverse, le scrute, en retire les éléments les plus significatifs ou les plus à même de parler à ses contemporains, pour les présenter au public sous un jour nouveau. Le lecteur retrouve la plupart des thèmes structurants de l’œuvre du génial prosateur, y observe une mise en valeur du travail de l'écrivain, de son acuité critique, de ses préoccupations intellectuelles majeures, de sa vision artistique et y découvre des textes provenant de livres devenus rares, de pages inédites ou de textes initialement publiés en revue. On remarque en particulier que les textes ne sont pas positionnés selon l'ordre chronologique mais selon la logique de la signifiance. Ainsi, c'est bien le récit d'une œuvre autant que l'histoire d'une vie qui nous sont donnés à lire.

Au sein de ses Morceaux choisis, André Gide offre aux lecteurs toute sa palette de créations thématiques, génériques et formalistes. Ainsi, divisé en deux grandes parties « Nationalisme et nationalité » et « Art, morale et littérature », l’ouvrage propose un parcours savamment balisé parmi les pages les plus profondes de l’auteur. Les comptes rendus de lectures personnelles, les extraits de son Journal ou d’interviews offertes à des revues, côtoient des réflexions métaphysiques, jugements littéraires, extrait d’œuvres théâtrales ou écrits romanesques.

Ainsi, nombre des genres littéraires dont l’auteur s’est emparé sont représentés dans cette auto-anthologie. André Gide y expose toute la diversité et la densité de son art, de l’herméneutisme de ses premières œuvres marquées par le symbolisme au dépouillement de ses textes les plus récents, à la façon d'un kaléidoscope révélant ses mille et un visages. Il invite à découvrir que sous la page la plus légère, la plus fuyante, la plus mystérieuse, son œuvre cache un dessein grave et soutenu, que tant de complexité ne lui ôte pas son unité, que ses variations ont un sens, dessinent une courbe, trahissent une évolution et fondent un tout résolument harmonieux.

Hadrien Courtemanche

Bibliographie : 

- Jean Schlumberger, « André Gide et ses Morceaux choisis », Nouvelle Revue Française, 1er janvier 1922.

- Henri Massis, « L'influence de M. André Gide », La Revue universelle, 15 novembre 1921.

- Félix Bertaux, « Le démon d'André Gide », Ère nouvelle, le 23 décembre 1921.

- François Mauriac, « À propos d'André Gide. Réponse à M. Massis », L'Université de Paris, 25 décembre 1921.

- Charles Du Bos, Le Dialogue avec André Gide, Paris, Corréa, 1926, pp. 240-243.

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« A Cuverville, le 22 février 1951... Le témoignage du pasteur Emile Bastide, présenté par Jean Claude. », Bulletin des Amis d'André Gide, n°129, janvier 2001, p. 19-28.

Amharech Abdelmalek, « Un voyage au Vatican. », Bulletin des Amis d’André Gide, n°138, avril 2003, p. 189-196.

Masson Pierre, « Gide et la mort surmontée », Bulletin des Amis d'André Gide, n°134, avril 2002, p. 133-177.

Sagaert Marc, « La mort de Gide et la presse espagnole : El Adios. Point sur le i avec prétention d'accent », Bulletin des Amis d'André Gide, n°119/120, juillet-octobre 1998, p. 341-347.

Sagaert Marc, « La mort de Gide et la presse espagnole : Documents », Bulletin des Amis d'André Gide, n°119/120, juillet-octobre 1998, p. 348-384.

Sagaert Martine, « La Mort d'André Gide : Dossier de presse des articles nécrologiques. », Bulletin des Amis d'André Gide, n°122/123, avril-juillet 1999, p. 219-275.

Varnicic Donjon Nada, « Le thème de la mort dans les romans, les récits et les soties d'André Gide. », Bulletin des Amis d'André Gide, n°89, janvier 1991, p. 109-125.

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La musique est à Gide à la fois un laboratoire et une échappatoire, une discipline et un reposoir. L’écrivain voue aux œuvres de la musique une affection sensuelle qui ne l’empêche pas d’en savourer la rigueur et l’abstraction. Il aime le Chopin le moins spéculatif autant que L’Art de la fugue ; il demande à la musique de lui apprendre à construire un texte, mais il lui demande aussi de lui enseigner une manière de clairvoyance immédiate.

Gide fut à la fois un interprète, un auditeur, un critique et un théoricien. Certes, il affiche ses lacunes de pianiste, et convient volontiers que la formation qu’il a reçue, avec ses professeurs successifs – Mlle de Gœcklin, M. Guéroult, M. Merriman, M. Schifmacher et Marc de la Nux – a été, malgré l’excellence du dernier de ses maîtres, insuffisante. Toutefois, les documents filmés qui le montrent au clavier – que ce soit la fameuse leçon donnée à Annick Morice ou les images muettes datant de 1930 – laissent deviner un pianiste capable de vélocité, et qui connaît les lois de l’harmonie.

Bon instrumentiste, Gide était également un auditeur critique attentif à toutes sortes d’esthétiques : il n’est, pour s’en convaincre, que d’ouvrir son Journal, où l’on rencontre, entre autres, les noms d’Albéniz, de Berlioz, de Bizet, de Brahms, de Chabrier, de Chausson, de Debussy, de Dukas, de Fauré, de Franck, de Granados, de Haendel, de d’Indy, de Liszt, de Mendelssohn, de Monteverdi, d’Offenbach, de Paganini, de Satie, de Tailleferre, de Schubert, de Schumann, de Richard Strauss, et bien sûr de Wagner, que Gide exécrait tant.

Pianiste, auditeur et critique, Gide fut en outre (malgré lui peut-être) un théoricien de la musique. Selon lui, la musique divulgue et raffine, elle publie ce que le langage cèle : elle serait comme le langage à la fois incarné et impalpable de l’âme. À quoi il faut ajouter que Gide musicographe est un moraliste. Il n’ignore pas le rôle que joue la vaine gloire dans son exaltation d’instrumentiste. Il sait, par exemple, que ce qu’il aime dans les fugues de Bach, c’est aussi ce qu’elles révèlent de son habileté de pianiste, et de l’endurance de sa mémoire. C’est le virtuose que donc il est que Gide vilipende alors : en somme, il rêve à un monde qui serait celui de la musique pure, de la musique préservée de tout contact avec ceux qui sont ses indignes célébrants.

Signalons pour terminer que Gide fut l’ami ou l’interlocuteur de nombreux musiciens : Raymond Bonheur, Claude Debussy, Darius Milhaud, Maurice Ohana, Florent Schmitt, Igor Stravinsky… Sans oublier que l’œuvre de Gide romancier, poète et traducteur a inspiré les compositeurs, de Darius Milhaud à Pierre Thilloy en passant par Georges Auric, Gary Bachlund, Elsa Barraine, Alfredo Casella, Mario Castelnuovo-Tedesco, Jean Cras, Alphons Diepenbrock, Louis Fourestier, Arthur Honegger, Charles Koechlin, E. L. T. Mesens, Tristan Murail, Louis Saguer, Henri Sauguet, Florent Schmitt, Igor Stravinsky, Roger Vuataz et Alexander von Zemlinsky.

Augustin Voegele

Pour en savoir plus...

Bibliographie raisonnée

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Oedipe

Brenner Jacques, « À Rouen, au printemps 1943, on ne joua pas Oedipe. », Bulletin des Amis d'André Gide, n°131/132, juillet-octobre 2001, p. 575-85.

Foucart Claude, « L'Homme face au spectre de l'inhumain : l'Oedipe de Gide joué à Darmstadt (1932). », Bulletin des Amis d'André Gide, n°47, juillet 1980, p. 355-75.

Lachasse Pierre, « Oedipe d'André Gide, ou le Mythe renouvelé. », Bulletin des Amis d'André Gide, n°53, janvier 1982, p. 5-21.

Perséphone

Claude Jean, « Autour de Perséphone.», Bulletin des Amis d'André Gide, n°73, janvier 1987, p. 23-55.

Métayer Bernard, « Perséphone. », Bulletin des Amis d'André Gide, n°70, avril 1986, p. 85-6.

Pollard Patrick, « Présence d'un mythe. », Bulletin des Amis d'André Gide, n°73, janvier 1986, p. 93-9.

Philoctète

Claude Jean, « Philoctète à Milan. », Bulletin des Amis d'André Gide, n°81, janvier 1989, p. 101-9.

Thésée

Abs Robert, « Thésée. Étude comparative de la première édition et des suivantes. », Bulletin des Amis d'André Gide, n° 74/75, avril-juillet 1987, p. 11-24.

Durosay Daniel, « Thésée roi. Essai sur le discours politique dans le Thésée de Gide. », Bulletin des Amis d'André Gide, n° 106, avril 1995, p. 201-21.

Lachasse Pierre, « Thésée, le labyrinthe du récit. », Bulletin des Amis d'André Gide, n° 106, avril 1995, p. 223-43.

Masson Pierre, « Thésée entre deux cinquantenaires.», Bulletin des Amis d'André Gide, n° 106, avril 1995, p. 197-9.

Renauld Pierre, « Gide, Plutarque et la légende de Thésée. », Bulletin des Amis d'André Gide, n° 106, avril 1995, p. 245-67.

Steel David, « Thésée à Cambridge, 1918. », Bulletin des Amis d'André Gide, n° 78/79, avril-juillet 1988, p. 25-40.

 

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