Un Centre dédié à la recherche sur André Gide

Le Centre d’Études Gidiennes a vocation à coordonner l'activité scientifique autour de Gide, diffuser les informations relatives aux manifestations gidiennes et à rendre visibles et accessibles les études qui lui sont consacrées.
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Centre d’études gidiennes Bureau 49, bâtiment A UFR Arts, lettres et langues Université de Lorraine Île du Saulcy F-57045 Metz cedex 01

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Stephanie Bertrand Jean-Michel Wittmann
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12
Sep.

Le disque Chopin par André Gide (piano : Augustin Voegele, production Fondation Catherine Gide) vient de paraître !

Chacun connaît la passion de Gide pour Chopin. Où faut-il chercher les origines de cette dilection passionnée pour le compositeur des Scherzos, des Ballades, des Préludes et de la Barcarolle ? Sans doute dans le sentiment narcissique – rappelons que Gide est l’auteur d’un Traité du Narcisse (1891) où il réhabilite la figure habituellement dépréciée de ce martyr de la réflexion – de se retrouver lui-même dans un autre (si l’on nous permet de paraphraser Paul Ricoeur). Car Gide traite Chopin comme un alter ego : il est l’autre parce qu’il est musicien (or Gide tient que toute comparaison entre les arts est périlleuse) ; il est le même parce qu’il est un classique (vertu suprême pour un Gide que tout pathos répugne).

D’ailleurs, Gide s’identifie à tel point à Chopin qu’il semble ne faire confiance qu’à sa propre subtilité pour jouer les œuvres du musicien polonais. Certes, il se souvient avec émotion des quelques pièces de Chopin qu’il a pu entendre par Anton Rubinstein ; certes, il fait l’éloge d’Ignacy Paderewski ; certes, il reconnaît au Père Abbé directeur du Mont Cassin une compréhension profonde (car silencieuse) du compositeur ; et certes, dans les années 1940, il poussera Maurice Ohana à aborder Chopin. Néanmoins, c’est sa propre interprétation qui paraît à Gide la meilleure, du moins quand il parvient à réaliser pianistiquement le Chopin idéal dont il a la vision sonore. Hélas, en dehors des quelques notes que l’écrivain joue devant sa jeune élève Annick Morice pendant la fameuse leçon filmée par Marc Allégret en 1950, il n’existe aucun document permettant de se rendre compte véritablement de ce qu’était le Chopin de Gide. C’est pourquoi Augustin Voegele, pianiste et docteur en littérature française, a tenté de suivre les instructions que Gide donne aux pianistes dans les Notes sur Chopin et dans certains passages de son Journal, et de restituer aussi fidèlement que possible sa vision du premier Scherzo op. 20 en si mineur (1831-1832), de la première Ballade op. 23 en sol mineur (1831-1835), des vingt-quatre Préludes op. 28 (1835-1839) et de la Barcarolle op. 60 en fa dièse majeur (1845-1846).

Ce disque a été enregistré grâce au généreux soutien de la Fondation Catherine Gide et de la Fondation des Treilles.

Chopin par André Gide

Piano : Augustin Voegele

Enregistré au Studio Alys en février 2019, sur un piano Steinway D274

Prise de son, montage et mastering : Pascal Perrot

Prix de vente : 20 € (coût de l’envoi offert).

Pour commander le disque : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

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06
Sep.
 
 
Lauréat du prix Nobel de littérature en 1947, André Gide (1869-1951) fut, on le sait, le « contemporain capital ». Intellectuel engagé, figure majeure de l’édition française, voyageur infatigable, mais aussi père et ami, Gide tint de nombreux rôles, et son monde – sa constellation – est un vivier de personnes, de lieux, de passions, d’événements, de livres bien sûr.
Une vaste sélection de plus de 250 documents, en grande partie inédits, permet d’explorer ou de revisiter de façon thématico-chronologique la vie et l’oeuvre de cet auteur, si intimement mêlés.
 
L'AUTEUR
Journaliste et écrivain, Jean-Claude Perrier est un fervent admirateur d’André Gide. Il lui a consacré plusieurs ouvrages, dont l’album André Gide ou la tentation nomade (Flammarion 2011), et le roman Indian Paludes (Belfond, 2017), remake de la sotie gidienne. De Gide, il a édité deux inédits majeurs : Le ramier (« Blanche », Gallimard, 2002, Folio, 2004) et La flûte de l’Infini, traduction des poèmes de Kabîr (Poésie/Gallimard, 2012).
 
 

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20
Jui.

A l’occasion du 150e anniversaire de la naissance de Gide, l’Institut français de Naples « Le Grenoble » a accueilli jeudi 20 juin la présentation du volume A Naples, Reconnaissance à l’Italie (traduction et essai critique de Carmen Saggiomo, avec une préface de Pierre Masson, Roma, AdHoc Cultura Edizioni). Ce texte est la transcription de la dernière conférence publique du Prix Nobel, tenue à l'Institut français de Naples, le 24 juin 1950, et se présente comme un hommage passionné à la ville de Parthenope et à la bien aimée Italie.

A cette occasion, l'artiste Carla Castaldo présentera au public sa dernière œuvre, dédiée à André Gide : Reconnaissance à André Gide.

Cette présentation sera également l'occasion pour l’Institut français de célébrer ses 100 ans à Naples.

 

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24
Mai.

Gide chez Charlot (Pierre Masson), Charles Gide et André, l'oncle et le neveu (Frank Lestringant), Gide et le mythe grec (Patrick Pollard), et bien d'autres encore... la Bibliothèque du CEG vient d'accueillir plusieurs nouveaux ouvrages !

Consulter la version actualisée du catalogue.

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24
Mai.

Je te parlerai de tout / Ti parlerò di tutto. Mise en voix bilingue (français & italien).
Rendez-vous le 24 mai à la Chapelle Saint-Jean de Mulhouse.

 

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30
Avr.

Racines, fleurs et plantes : pour une nouvelle approche de Gide naturaliste. Rendez-vous le 30 avril à la Pépinière municipale de Mulhouse.

 

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06
Avr.

Les samedi 6 et dimanche 7 avril 2019 se sont tenues au Lavandou les 6es Journées Catherine Gide, autour d'André Gide et la peinture.

André Gide, en effet, s'il a avant tout vécu pour la littérature, a aussi beaucoup vécu avec la peinture, fréquentant les ateliers, les salons, les musées, cherchant à travers les œuvres la confirmation de ses recherches esthétiques, et portant un regard critique sur certaines tendances de l'art contemporain. C'est de l'intérêt de Gide pour Bonnard, Vuillard, ou encore Maurice Denis, mais aussi de ses réticences envers Matisse, et plus généralement de sa recherche d'un message pictural, qu'il sera question. Ces aspects seront abordés par des spécialistes du prix Nobel de littérature 1947, par des historiens de l'art et par la conservatrice du musée d’Uzès au cours de conférences accompagnées de projections.

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02
Avr.

Que reste-t-il du « contemporain capital » sous le regard de ses plus jeunes lecteurs ? Rendez-vous le 2 avril prochain à La Fonderie (Mulhouse).

 

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14
Mar.

 Organisation : Paola Codazzi (UHA, Fondation Catherine Gide), Isabelle Diu (Bibliothèque littéraire Jacques Doucet), Sophie Martin (Bibliothèque Sainte-Barbe), Marc Scherer (Bibliothèque Sainte-Geneviève), Peter Schnyder (Fondation Catherine Gide) 

 

Consultez le programme !

 

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Pour toute information, contacter Paola Codazzi

 

Argumentaire

Dans un article récent (et une entrée du Dictionnaire Gide), Pierre Masson rappelle, à juste titre, que la masse épistolaire produite par Gide est la plus importante – au moins du point de vue quantitatif – du XXsiècle : à ce jour, elle est constituée de près de quarante mille lettres échangées avec plus de deux mille destinataires. Un ensemble impressionnant, qui est en constante expansion. Le recours à la correspondance est depuis longtemps indispensable aux chercheurs, à commencer par les biographes, de Jean Delay (1956-1957) à Frank Lestringant (2013). Au cours des années, en raison peut-être de l’énormité et de l’hétérogénéité du corpus, la critique a privilégié une analyse « au cas par cas » avec une attention particulière portée à savaleur documentaire et historique. Or, sans négliger l’importance de ces études, nous nous proposons de dépasser les approches monographiques pour tenter une approche plurivalente qui nous permettra de proposer des lectures transversales. En nous inspirant des études publiées par la revue de l’A.I.R.E. – Épistolaire –, mais également des travaux récents de Geneviève Haroche-Bouzinac et de Mireille Bossis, nous souhaitons accentuer une réflexion sur l’importance de la correspondance, non pas tant comme source privilégiée de la vie privée de l’écrivain, mais plutôt comme lieu de création littéraire, de formation – Brigitte Diaz parle de « laboratoire identitaire » – et de réflexion (intellectuelle et esthétique). 

Ensemble vaste et complexe, tout aussi protéiforme que son auteur, le chantier épistolaire demande aujourd’hui à être considéré comme un tout, comme un genre à part entière entrant en communication avec le reste de l’œuvre, du Journal aux Mémoires, du roman aux essais critiques. Dans une perspective pluridisciplinaire, ouverte à des réflexions relevant de domaines différents (linguistique, littérature, histoire des idées, etc.), ce colloque souhaite apporter un regard d’ensemble sur Gide épistolier, afin de s’interroger sur la signification, la valeur et la portée de la correspondance, où se reflètent les multiples visages de l’écrivain. Toute contribution visant à enrichir la réflexion à l’appui de documents encore inédits sera bien sûr la bienvenue. Nous proposons d’articuler la discussion autour des axes de réflexion qui suivent. 

Axes de réflexion :

1) Épistolaire et identité. Une des constantes les plus manifestes de la correspondance de Gide est l’exploitation de l’écriture épistolaire au service du Moi. La belle formule de Bernard Beugnot – qui présente l’épistolier comme un « artisan de soi » – s’avère particulièrement topique, puisqu’elle explique l’importance pour Gide de s’essayer, comme aurait dit Montaigne, sous le regard de l’autre. Terrain privilégié du dévoilement et de la confession, la lettre comporte également une partie scellée, cachée, et à ce titre, s’affirme comme le lieu du silence et du non-dit. Dans ce cadre, la correspondance de Gide avec ses compagnons et ses proches est particulièrement intéressante, car elle porte les marques d’un processus d’émancipation et de maturation fait de secrets et d’allusions. Écriture de l’identité, ou des identités, la correspondance apparaît, d’après Pierre Masson, comme une pratique parfaitement complémentaire à celle du Journalet mérite à ce titre d’être considérée comme un moment décisif dans le processus d’élaboration du « Je » écrivant. De quelle manière la lettre contribue-t-elle à la construction identitaire de l’auteur ? Quel rôle joue la correspondance dans l’ensemble autobiographique gidien ?

2) Gide épistolier au-delà des frontières. En aucune façon, la lettre ne peut se réduire au territoire de l’intime, car elle se situe toujours « à la croisée de l’individuel et du social » (Mireille Bossis). Moteur silencieux d’un vaste réseau de correspondants, Gide contribue de manière décisive à la construction d’un espace de culture et de civilisation dépassant les frontières nationales. Mais ce n’est pas seulement le tissu que créent ses échanges transfrontaliers qui fait delui un épistolier européen : suite à l’expérience tragique de la Grande Guerre, au moment où il développe un intérêt accru pour l’Histoire, Gide conçoit sa correspondance à la fois comme un lieu de témoignage – où il décrit et commente les événements de son temps – et comme un lieu de débat – où il réfléchit sur l’avenir du Vieux Continent. Lieu de « commerce » d’idées et de préoccupations actuelles, sa correspondance avec Ernst Robert Curtius, Arnold Bennett ou Edmund Gosse, sans négliger l’importance de ses amitiés féminines – Aline Mayrisch, Dorothy Bussy, la Petite Dame – fait émerger une pensée de l’Europe en dialogue et une volonté d’action commune. Comment la lettre, en tant que communication par écrit et exigence de réponse en retour, contribue-t-elle à l’élaboration d’une conscience nouvelle, ouverte sur l’avenir ? Quel rôle (historique, culturel, politique) Gide attribue-t-il à ses correspondances internationales ? 

3) L’épistolaire comme laboratoire du littéraire. Depuis un certain temps, l’approche de la lettre comme « seuil du littéraire » (Brigitte Diaz) regagne du terrain. Il suffit de penser au rôle joué par Roger Martin du Gard lors de l’élaboration des Faux-monnayeurs pour comprendre l’importance de la correspondance dans le processus de création : à partir du moment où ilsont souvent pour sujet les idées (réalisées ou abandonnées) de l’auteur sur ses projets en cours, les échanges épistolaires font partie, à l’instar des préfaces ou des postfaces, du paratexte gidien. Mais au-delà de son statut de preuve dans l’historique de telle ou telle œuvre, il semble possible, plus profondément, de considérer la correspondance comme un « dossier », au sens génétique, du texte à venir. L’étude de Jean-Michel Wittmann (2002) ouvre une perspective intéressante sur ce sujet : peut-on affirmer qu’une communication s’instaure entre l’épistolaire et le littéraire ? S’il est vrai que certains motifs ou thèmes migrent de la correspondance à l’œuvre, dans quelle mesure la lettre forme-t-elle le soubassement de la création fictionnelle ? Du point de vue de l’art épistolaire, le discours est également intéressant : Gide manifeste-t-il dans sa correspondance un style différent de celui auquel est familiarisé le lecteur de ses fictions ? Existe-t-il un style spécifiquement épistolaire ou est-il possible de considérer la lettre comme la matrice (syntaxique, lexicale, rythmique) de l’œuvre ?

 

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06
Mar.

Le projet RAGS en quelques mots

La Fondation des Treilles, en partenariat avec la bibliothèque littéraire Jacques Doucet, la Fondation Catherine Gide et la BNF a mis en place depuis le début de l’année 2016 un projet de mise en réseau des archives autour d’André Gide, dont la première ambition est de rendre visible, à travers une cartographie, les différentes ressources disponibles autour d’André Gide dans le monde. Le point de départ de cette réflexion repose sur un constat : celui de la difficulté rencontrée par les chercheurs à localiser les fonds et archives nécessaires à leurs recherches, et ce, malgré les ressources offertes par Internet. C’est le cas du corpus d’archives gidiennes, particulièrement dispersé. L’objectif est donc d’offrir au chercheur un outil lui permettant de repérer plus aisément l’ensemble des fonds disponibles autour de Gide, et en particulier ceux qui ne sont pas visibles sur les catalogues de recherches comme le CCFR (catalogue collectif de France). Il peut s’agir de fonds détenus par des institutions publiques ou privées, mais aussi par des collectionneurs, si toutefois ils sont d’accord pour autoriser les chercheurs à prendre connaissance de ces documents par la suite.

Quel bilan ?

Sollicités en décembre 2017, les spécialistes de Gide ont apporté des éclairages précieux pour localiser les archives gidiennes. Plusieurs grandes institutions ont accepté de communiquer l’inventaire de leurs archives, comme le Centre Culturel de Cerisy, qui détient un important massif d’archives gidiennes. Des déplacements dans d’autres institutions comme l’IMEC ont également permis d’établir un inventaire des documents relatifs à Gide déposés dans les différents fonds. Contacts ont été pris avec différentes institutions, musées ou bibliothèques, en Europe et à l’international. De nombreuses archives ont ainsi été localisées en Suisse, en Belgique, au Luxembourg, aux Etats-Unis, en Angleterre. Des archives gidiennes ont également pu être localisées en Russie (Archives de l’Académie des sciences) et en Italie (Fondazione Primo Conti). Enfin, contact a été pris avec deux collectionneurs privés, qui ont accepté d’ouvrir leurs collections aux chercheurs. L’année a également été consacrée à la mise en place d’une méthodologie et à l’élaboration d’un modèle de notice permettant de décrire les documents de la manière la plus efficace possible. Des mises en ligne de nos premiers résultats devraient être très prochainement disponibles sur notre site.

            Quelles perspectives ?

Ces premières avancées ont également permis de faire émerger certains points aveugles, pour lesquels l’aide des spécialistes nous serait précieuse. Ainsi, seule une institution a été localisée en Allemagne (les archives de Marbach), ce qui, au vu des contacts de Gide avec l’Allemagne, nous semble peu et laisse imaginer la possibilité d’autres institutions restées invisibles. Aucun document n’a été localisé en Asie, en Afrique ni en Amérique du Sud (à part les photocopies de six lettres écrites par Gide à Victoria Ocampo et conservées à la villa Ocampo, à Buenos Aires) : aucune piste n’a été évoquée à ce sujet, mais peut-être s’agit-il d’un manque. Enfin, nous cherchons toujours à entrer en relation avec des collectionneurs privés favorables à l’idée d’ouvrir leurs collections aux chercheurs (avec mise en place d’un document formalisant les conditions d’accès aux archives), part qui demeure certainement la plus délicate de ce travail.

 

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Camille Koskas coordonne le projet RAGS

L’équipe est donc évidemment preneuse des pistes que les spécialistes de Gide pourraient suggérer afin de localiser le plus de documents qu’il est possible. D’autre part, la Fondation des Treilles entend aussi associer étroitement les chercheurs au projet, afin de mettre en place un outil qui peut les servir au mieux. Nous sommes évidemment tout à fait prêts à tenir les chercheurs intéressés au courant des avancées du projet. Si vous disposez d’informations ou de suggestions susceptibles de nous aider et que vous souhaitez les partager, merci beaucoup d’écrire à Camille Koskas à l’adresse suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Toute l’équipe du projet vous remercie bien chaleureusement de l’aide que vous pourrez lui apporter.

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04
Mar.

Rendez-vous le 4 mars à Mulhouse pour (ré)découvrir littérairement (et littéralement) les Nourritures terrestres !

 

 

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23
Fév.

Akio Yoshii, professeur de littérature française à l'Université du Kyushu (Fukuoka, Japon) vient de publier en japonais un ouvrage consacré à André Gide et son temps : 

Jiddo to sono Jidai [Gide et son temps], Fukuoka, Kyushu Daigaku Shuppankai [Presses Universitaires du Kyushu], 2019.  

1 vol. relié (sous jaquette), 21,5 x 15,5 cm, 674 pp. (parution 12 janvier 2019).  

ISBN : 978-4-7985-0249-6.  

Prix : 9.000 Yens (plus TVA 8 %). 

 

Gide et son temps avec bande éditeur

 

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15
Fév.

Ce volume, le dixième de la Bibliothèque gidienne chez Garnier, rassemble les actes du colloque international de Mulhouse des 16-18 mars 2016, rassemblés et publiés par Martina Della Casa.

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André Gide, l’EuropéenAvec un texte inédit d’André Gide

  • Directeur d'ouvrage: Della Casa (Martina)
  • Contributeurs: Andonovska (Biljana)Bertrand (Stéphanie)Canovas (Frédéric)Caristia (Stefania)Codazzi (Paola)Della Casa (Martina)Fossa (Paola)Fuhrer (Mechthilde)Gide (André)Laurent (Thierry)Masson (Pierre)Mazza (Vincenzo)Nancey-Quentin de Gromard (Marie-Gabrielle)Saggiomo (Carmen)Schnyder (Peter)Skibińska (Elżbieta)Vukušić Zorica (Maja)Waelti (Slaven)Wittmann (Jean-Michel)
  • Résumé: Ce volume, issu du colloque qui a eu lieu du 16 au 18 mars 2016 à l’université de Haute-Alsace, réuni dix-sept contributions et un texte inédit d’André Gide. Il explore la pensée européiste de l’écrivain, son enracinement dans l’espace culturel européen et la réception de son œuvre en Europe.

 

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15
Fév.

Patrick Pollard, grand spécialiste de l'Antiquité chez Gide (notamment), publie aux éditions Classiques Garnier, dans la collection "Bibliothèque gidienne", un ouvrage consacré aux liens de Gide avec le mythe grec :

 

André Gide, Gide et le mythe grec suivi de fragments du Traité des Dioscures et autres textes inédits, 
Paris, Classiques Garnier, "Bibliothèque gidienne", n° 9, 262 pages. 

 

Présentation de l'éditeur : 

Cette étude, accompagnée de textes qui sont édités avec variantes et notes (Considérations sur la mythologie grecque, Un esprit non prévenu, et des brouillons inédits), présente les connaissances d’André Gide en matière de mythologie et la façon dont il interprète la fable grecque pour le monde moderne.

Pour commander l'ouvrage : voir site de l'éditeur.

 

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13
Fév.
 
Comme chaque année, l'association des Amis d'André Gide organise une session consacrée à Gide lors du congrès annuel de la Modern Language Association, qui aura lieu du 9 au 12 janvier 2020 à Seattle (état de Washington), USA.
 
Cette prochaine session sera consacrée aux représentations et enjeux de l'homosexualité dans la vie, les amitiés et l'oeuvre de Gide. 
 
Les intéressés sont invités à soumettre un résumé de 250-300 mots en français ou en anglais avant le 12 mars 2019 à Christine Armstrong (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.et Jocelyn Christine Van Tuyl (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.).
 
 
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05
Fév.

Rendez-vous à Mulhouse, à la Maison Engelmann, le 5 février !

 

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15
Jan.

Plusieurs notices viennent d'être publiées dans le dictionnaire en ligne :

Amyntas (par Diana Lefter)

L'Art Bitraire (par Augustin Voegele)

Bethsabé (par Augustin Voegele)

Les Cahiers d'André Walter (par Pierre Masson)

Les Interviews imaginaires (par Jocelyn Van Tuyl)

Oedipe (par Clara Debard)

L'Oroscope (par Augustin Voegele)

Prétextes et Nouveaux prétextes (par Augustin Voegele)

Le Treizième Arbre (par Augustin Voegele)

Bonne lecture !

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04
Jan.

La session Gide de la MLA, premier événement des festivités liées au cent-cinquenaire de la naissance de Gide, a eu lieu le vendredi 4 janvier 2019 de 15h30 à 16h45 dans la salle Missouri du Sheraton Grand Chicago.

La séance était présidée par Pamela Genova, qui en avait assuré l'organisation.

Conférenciers et titres

1. «150 Years and Counting: Gide and the Dynamics of Current Literary Studies », Pamela Antonia Genova (U of Oklahoma) 
2. « Daniel Guérin’s Militant Tribute to Gide », Christine M. Cano (Case Western Reserve U) 
3. « Esquisses pour une Europe à venir : André Gide et Klaus Mann », Paola Codazzi (Università di Bologna) 
4. « Par-delà la volupté de la chair’: Translating André Gide through Nathalie Stephens », Claire Nashar (U at Buffalo, State U of New York) 
 
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02
Jan.

Toute l'équipe du CEG et ses collaborateurs vous souhaitent une excellente année 2019 !

Cette année sera particulièrement riche et importante pour les études gidiennes, puisqu'elle constitue celle du cent-cinquantenaire de la naissance de Gide (1869-2019).

Vous trouverez ici le programme des festivités de cette année anniversaire.

N'hésitez pas à nous rendre visite ou à venir à notre rencontre à l'une de ces occasions !

 

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 Les bords de la Moselle, non loin du campus du Saulcy, enneigé(s) une unique journée cet hiver

 

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30
Déc.

Frank Lestringant a publié aux éditions Lucie, sous le titre Charles Gide et André, l'oncle et le neveu, un petit ouvrage consacré à la relation entre l'économiste et l'écrivain. Il est possible de le commander directement sur le site de l'éditeur, en cliquant sur ce lien

 

 

Pas de contraste plus flagrant que celui qui oppose Charles à André Gide. L’oncle Charles est un protestant rigoriste, un « coopératiste » de la première heure et un moraliste intransigeant ; le neveu rue dans les brancards et se moque littéralement du monde. C’est de surcroît un libertin qui défie la morale et bafoue par son comportement les liens sacrés de la famille. En vérité, par- delà leur opposition, un certain nombre de traits les rapproche. L’un et l’autre sont dreyfusards, et, plus tard, ils se rendent de gaîté de cœur en U.R.S.S., le premier, dès 1923, pour reconnaître dans les soviets des sociétés de coopérateurs ; le second, treize ans plus tard, à l’été 1936, à l’heure des purges de Staline. Tous deux, malgré leurs divergences radicales, finiront par se comprendre. Professeur émérite à la Sorbonne, Frank Lestringant a publié une quarantaine de livres consacrés notamment à la littérature des voyages de la Renaissance vers le Nouveau Monde, du Brésil à la Floride et au Canada. Il s’est intéressé à la cosmographie et aussi à l’arrière-plan théologique de la controverse géographique à la Renaissance. Il a par ailleurs consacré une biographie à Alfred de Musset.

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Le site du CEG a été réalisé grâce au soutien de la Fondation Catherine Gide, avec la participation de l’Association des Amis d’André Gide. Il a été réalisé en partenariat avec Martine Sagaert, responsable du site originel andre-gide.fr, créé en 2006 avec des étudiant.e.s de l'I.U.T. des Métiers du Livre de Bordeaux.