Parmi les lieux les plus appréciés de Gide, infatigable voyageur, on compte l'Italie - la Campanie en particulier et, plus précisément encore, la belle Sorrente, ville côtière située au sud de Naples.
A l'invitation du Centre de documentation Roland Barthes, et en collaboration avec l'Institut de la culture Torquato Tasso, Pierre Masson a prononcé une conférence sur "Les séjours sorrentins d'André Gide", à Sorrente, le mardi 30 octobre 2018, avec le concours d'Emilia Surmonte, qui a assuré la traduction simultanée en italien.
Emilia Surmonte, micro à la main, et Pierre Masson qui s'exprimait en français et en napolitain (avec les mains !)
Séminaire organisé par Robert Kopp (Université de Bâle) et Peter Schnyder (Université de Haute-Alsace)
du 11 au 16 juin 2018 à la Fondation des Treilles (Var)
programme complet disponible ici
En haut, P. Masson, S. Bertrand, P. Schnyder, A. Fuentes, N. Drouin.
Au premier rang, J.-P. Clément, A. Voegele, M. Sagaert, P. Codazzi, L. Carlier, T. Hunkeler, A. Cerisier, J.-M. Wittmann.
Les 5es Journées Catherine Gide, organisées par la mairie du Lavandou
en collaboration avec la Fondation Catherine Gide et l'Association des Amis d'André Gide,
ont eu lieu comme chaque année au Lavandou (Var), les 7 et 8 avril 2018.
Lieu de ces 5e Journées : Villa Théo, 19 Avenue Van Rysselberghe, Le Lavandou.
9h30
Pierre Masson : "France-Belgique 1900, au carrefour des arts et des lettres"
10h30
Marc Quaghebeur : "Edmond Deman, histoire d’un éditeur"
11h30
Visite commentée de l’exposition
14h30
Pierre Mathieu : "Petite histoire du symbolisme, en littérature et en art"
15h30
Nicole Tamburini : "Illustration et ornementation du livre, la modernité des éditions Deman"
16h30
Nathalie Trouveroy-Fontainas : "Adrienne et Luc Fontainas, biographes de Deman"
10h30
Pierre Masson et Olivier Monoyez : "Gide et les peintres à partir des archives de la Fondation des Treilles"
Colloque interdisciplinaire organisé par Vincenzo Mazza (Université de Montpellier III)
du 7 au 9 décembre 2017 à Paris.
Alors que le théâtre accompagne la totalité du parcours d’écrivain d’André Gide et que ses tentatives et ses réussites emplissent copieusement sa correspondance, ses notes personnelles et de nombreuses pages de sa biographe d’exception – Maria Van Rysselberghe –, la plus grande part de sa production dramatique reste méconnue et peu étudiée. Depuis presque trois quarts de siècle, deux moments demeurent fondamentaux pour la compréhension de son apport au théâtre. Tout d’abord, les huit tomes du Théâtre completpubliés entre 1947 et 1949, qui constituent un objet précieux pour les chercheurs. Le projet – voulu par Richard Heyd et accepté avec enthousiasme par Gide – a obligé l’auteur à réunir sa production dramatique et à la considérer comme un ensemble autonome. Cette édition définitive et testamentaire du théâtre de Gide permet, entre autres, de révéler l’écart significatif avec les premières éditions de ses pièces qui correspondent forcément aux différentes époques auxquelles elles ont été produites. La deuxième opération éditoriale, qui touche l’exégèse du travail de Gide au théâtre, est l’étude de Jean Claude, parue en 1992. Cette réflexion a occupé une place restée vacante depuis trop longtemps. De plus, elle a montré la voie à de nouvelles études.
Les nombreuses initiatives scientifiques organisées par les Universités de Nantes, de Lorraine et de Haute-Alsace, la Fondation des Treilles, etc., promues par l’Association des Amis d’André Gide et la Fondation Catherine Gide, répondent à l’exigence constante d’interroger l’œuvre de Gide. Le colloque interdisciplinaire André Gide et le théâtre. Un parcours à re-tracer se veut une tentative de répondre à quelques-unes des questions soulevées par Jean Claude, et indique clairement au moins deux domaines d’investigation : « De fait, si l’on veut étudier les rapports de Gide avec le théâtre, c’est toute la question de la double existence de l’œuvre dramatique qui intervient : son existence littéraire et son existence scénique. Il importe de savoir comment l’écrivain a envisagé cette double existence, d’analyser les contradictions que cet aspect a pu entraîner dans ses jugements, comment elles ont été vécues et éventuellement résolues. »
Les idées de Gide sur le théâtre ne se retrouvent pas seulement dans son écriture dramatique, mais également dans ses échanges avec des hommes de théâtre comme Jacques Copeau, Jean-Louis Barrault, Charles Dullin, Aurélien Lugné-Poe, Jean Mercure, Jean Vilar etc. En filtrant sa correspondance et son Journal à l’occasion de ses plongées dans l’art dramatique, on distingue autant le désir d’arriver à avoir une place dans la dramaturgie de son temps que celui de faire entendre et voir son monde théâtral. Et si l’on relit le Journal à propos de son Œdipe : « Ce n’est pas l’émotion qui m’importe et que je cherche à obtenir : c’est à votre intelligence que je m’adresse. Je me propose, non de vous faire frémir ou pleurer, mais de vous faire réfléchir », ne peut-on pas affirmer, a posteriori, qu’il s’agit, plus que d’un théâtre littéraire, d’un théâtre qui évoque et qui anticipe en France celui de Brecht ?
On reproche à Gide l’absence de succès de Saül, nonobstant l’apport de Copeau et, comme il dira lui-même à Barrault d’avoir « jeté [son] filet trop bas » concernant sa pièce sociale Robert ou l’intérêt général. À cela, on peut répondre qu’il a même obtenu des résultats aux guichets avec les mises en scène de George s Pitoëff et Vilar pour Œdiperespectivement en 1932 et 1951 et avec Barrault qui a monté sa traduction d’Hamlet en 1946, et leur adaptation du Procès de Kafka au Théâtre Marigny en 1947.
L’ambition de cette rencontre, rendue possible grâce au soutien de la Fondation Catherine Gide et de son président, Peter Schnyder, mais également de la Maison d’Espagne, du Département des arts du spectacle de la Bibliothèque nationale de France, du groupe de recherche E.S.T. – Études sur le théâtre et de l’Institut de recherche en langues et littératures européennes (ILLE EA 4363), est celle d’inviter les chercheurs à centrer leur attention sur le travail de Gide au théâtre, pour susciter une nouvelle vague de réflexions.
Journée d'étude organisée par Carmen Saggiomo (Università degli studi della Campania) et Jean-Michel Wittmann (Université de Lorraine)
le 2 novembre 2017 à Caserte (Università degli studi della Campania, Italie).
Carmen Saggiomo, Jean-Michel Wittmann, Emilia Surmonte & Pierre Masson.
Colloque organisé par Marian Bielecki, Joanna Jakubowska, Lukasz Smuga et Regina Solova (Université de Wroclaw)
du 6 au 8 avril 2017 à Wrocław (Université de Wroclaw, Pologne).
Journée d'étude organisée par Stéphanie Bertrand (Université de Lorraine) et Enrico Guerini (Université de Bologne)
le 27 octobre 2016 à Bologne (Alma mater studiorum- Università di Bologna, Italie).
Argumentaire disponible ici.
Colloque organisé par Christine Armstrong (Denison University, Ohio, USA) et Jocelyn Van Tuyl (Sarasota University, Florida, USA)
du 16 au 18 juin 2016 à Granville (Denison University, Ohio, USA).
Colloque organisé par Martina Della Casa, Frédérique Toudoire-Surlapierre, Peter Schnyder (Université de Haute-Alsace)
du 16 au 18 mars 2016 à Mulhouse (Université de Haute-Alsace).
Colloque organisé par Jean-Michel Wittmann (Université de Lorraine)
du 28 au 30 mai 2015 à Metz (Université de Lorraine).
Au premier rang : P. Schnyder, F. Toudoire-Surlapierre, Ch. Armstrong, J. Claude, G. Masson, M. Karelson, E. Guerini.
Au deuxième rang: H. Baty-Delalande, S. Bertrand, P. Masson, P. Pollard, J.-M. Wittmann, F. Lestringant, F. Bompaire.
Alain Goulet et François Bompaire.
Peter Schnyder et Stéphanie Bertrand.
David H. Walker et Christine Armstrong; à l'arrière-plan, Shaimaa Al Goberi et Paola Codazzi.
Colloque organisé par Greta Komur, Frédérique Toudoire-Surlapierre, Peter Schnyder (Université de Haute-Alsace)
du 13 au 15 octobre 2014 à Mulhouse (Université de Haute-Alsace).
COLLOQUE INTERNATIONAL ET INTERDISCIPLINAIRE
au Théâtre de la Sinne à Mulhouse
(Foyer et Grande Salle)
Matinée : Accueil des artistes.
14h00 : Accueil des conférenciers au Grand Foyer du Théâtre.
15h00 : Greta Komur, Peter Schnyder et Frédérique Toudoire-Surlapierre. Mot d'accueil.
15h15-16h00 : Conférence d'ouverture par Peter Schnyder (ILLE – UHA) :
« … l’on comprend que l'on est un auditif et l’on parle à un visuel ». Regards sur la culture musicale de Gide.
16h00-17h00 : Conférence plénière par François Gildas Tual (Conservatoire à Rayonnement Régional de Grenoble) : « Saül » de Flavio Test, Opéra de l’introuvable.
17h15-17h45 : Maya Vukusic Zorica (Université de Zagreb) : Des notes sur Chopin à l’opéra, l’angle mort du Journal de Gide.
17h45-18h15 : Hana Imen Bensid & Omar Salhi (Université de Batna, Algérie) : André Gide, la musique et l’Algérie.
20h30 : Concert : Le Parnasse des compositeurs d'André Gide : Chopin, Bach, Mozart et les autres.
Notes sur Chopin de Pierre Thilloy Quatuor Sakharov, quatuor à cordes Stéphane Rougier, violon & alto solo Sylvain Kuntz, récitant
21h45 : Dîner de bienvenu, restaurant le Théâtr'al (6 Passage de l'Hôtel de Ville)
9h30 : Accueil au Théâtre / thé ou café… discussions cordiales...
10h00-11h00 : Conférence plénière par Robert Kopp (Université de Bâle) : La NRF face aux avant-gardes musicales : Jacques Rivière, critique de Strawinski.
11h00-12h00 : Conférence plénière par Pierre Masson (Université de Nantes) : Gide, la musique et Chopin : De l'impur et le pur.
12h00-14h00 : Apéritif déjeunatoire - concert / Salle des colonnes (Place de la Réunion).
14h30-15h30 : Conférence plénière par Éric Lysøe (Université de Clermont- Ferrand) : Darius Milhaud, lecteur de La Porte étroite.
15h45-16h45 : Conférence plénière par Peter André Bloch (Université de Haute-Alsace) : Musicalité de La Porte étroite.
17h00-18h00 : Conférence plénière par Guy-Pierre Couleau (directeur de la Comédie de l’Est) et Pierre Thilloy (compositeur).
20h00 : Concert : André Gide et la musique.
Entracte - Délibération du jury et vote du public.
Sables - Op. 198 - Évocations pour piano solo
Ainsi soit-il ou Les jeux sont faits - Op. 159 - Sextuor Quatuor Sakharov, quatuor à cordes
Céline Mellon, soprano
Sylvain Kuntz, récitant Sophie Teboul, piano
21h30 : Dîner, restaurant Hug (11, Rue du Sauvage)
9h30 : Accueil au Théâtre / Thé ou café… discussions cordiales.
10h00-11h00 : Conférence plénière par Joachim Sistig (Ruhr-Universität, Bochum) : La topographie esthétique de l'univers gidien.
11h15-11h45 : Suzanne Lay (Université Aix-Marseille I) : De la mise en abyme à la fugue miroir : esthétiques bachiennes d’André Gide et d’Aldous Huxley.
12h00-14h00 : Déjeuner Brasserie St. B – Rue des Fleurs
14h30-15h30 : Conférence plénière par Vincenzo Mazza, EA 4414 HAR (Histoire des Arts et des Représentations, Université Paris-Ouest) : Gide face au Procès. La musicalité absconse de la prose kafkaïenne au double passage de l’écrivain et de Jean-Louis Barrault pour sa transposition scénique.
15h45-16h45 : Conférence plénière par François Bompaire (Université Paris IV Sorbonne) : De la musique à l'ironie, et retour : interprétation musicale et interprétation textuelle dans l’œuvre d'André Gide.
17h00-18h00 : Table ronde de clôture, Guy-Pierre Couleau (directeur de la Comédie de l’Est), Vincent Monteil (directeur de l’Opéra Studio), Pierre Thilloy (compositeur) : Les Faux-Monnayeurs… opus visionnaire…?
20h00 : Remise des Prix du Concours de Composition André Gide.
20h30 : Soirée « Gide en Opéra » : Les Faux-Monnayeurs de Pierre Thilloy.
Quatuor Sakharov, quatuor à cordes Collectif KORDS
Mélanie Moussay, soprano Louis-Héol Castel, ténor Sylvain Kuntz, baryton Fernand Bernadi, basse
François Guilliou, programmation musicale Vincent Guilliou, programmation vidéo Guy-Pierre Couleau, mise en scène
Vincent Monteil, direction
21h30 : Cocktail dînatoire de clôture (Grand foyer du théâtre)
Journée d'étude organisée par Jean-Michel Wittmann (Université de Lorraine)
le 15 mai 2013 à Metz (Université de Lorraine).
Journée d'étude organisée par Hélène Baty-Delalande (Université Denis Diderot - Paris 7)
le 8 décembre 2012 à Paris (Université Paris 7).
UNIVERSITÉ PARIS DIDEROT
CÉRILAC-LITTÉRATURE AU PRÉSENT
Journée d’agrégation : André Gide, Les Faux Monnayeurs
Université Paris-Diderot, Halle aux farines, Espl. Pierre Vidal-Naquet, 75013 Paris.
RESPONSABLE : Hélène Baty-Delalande
SAMEDI 08 DECEMBRE 2012
9h30-17h — Amphi 11A
Ouvert à tous
Matin
Modératrice : Hélène Baty-Delalande
9h30 : Jean-Michel Wittmann (Université de Lorraine) : « La lutte pour la vie dans l’espace romanesque »
10h : Frédérique Toudoire-Surlapierre (Université de Haute-Alsace) : « Les bons comptes font les bons…»
Discussion et pause
Modérateur : Jean-Michel Wittmann
11h : Alain Schaffner (Université Sorbonne nouvelle-Paris III) : « Le romanesque dans Les Faux-Monnayeurs »
11h30 : Peter Schnyder (Université de Haute-Alsace) : « ‘‘Vous pouvez tout raconter, mais à condition de ne jamais dire) : Je.” Gide critique de Proust »
Discussion
Après-midi
Modérateur : Peter Schnyder
14h : Anne-Sophie Angelo (Université Paris-Diderot) : « Édouard, ou comment donner forme à une réflexion sur le roman »
14h30 : Pierre Masson (Université de Nantes) : « Seuils et frontières dans Les Faux Monnayeurs »
Discussion et pause
Modérateur : Pierre Masson
15h30 : Eric Marty (Université Paris-Diderot), « Livre écrit, livre volé, livre différé : perversion et sublimation dans Les Faux Monnayeurs »
16h : Claude Coste (Université Stendhal-Grenoble III), « L’art de la fugue »
Discussion
Séminaire organisé par Anna Soncini (Università di Bologna) et Eric Lysoe (Université Clermont-Ferrand 2)
les 7 et 8 décembre 2012 à Pont-du-Château.
Fondés en 1984 sur une idée de Ruggero Campagnoli, professeur à l’Université de Bologne, les séminaires « pasquali » réunissent chaque année, durant deux ou trois jours, un groupe de chercheurs autour d’une œuvre représentative de la littérature française du XVIe au XXesiècle. Quatre ou cinq spécialistes de réputation internationale présentent une communication d’une heure, suivie d’une discussion d’autant plus riche et animée que tous les participants — spécialistes de l’auteur ou du siècle concernés, théoriciens de l’analyse textuelle, doctorants... — s’engagent à relire l’ouvrage « mis au programme » dans les semaines précédant le colloque. Parmi les textes déjà abordés, on peut citer : L’Olive (2005), La Pucelle d’Orléans (2006), Voyage en Grande Garabagne (2007), Le Capitaine Fracasse (2008),Histoires tragiques (2009).Après s’être installés à Lucelle, village français situé à proximité de la Suisse (2001-2007), les Seminari se déroulent désormais un an sur deux à Besse-en-Chandesse, en alternance avec Cesenatico (Italie).
Président fondateur : Ruggero Campagnoli (Bologne)
Directeurs : Anna Soncini (Bologne) et Éric Lysøe (Clermont-Ferrand).
Comité scientifique : Jean-Louis Backès (Paris IV-Sorbonne), Giancarlo Fasano (Pise), Jean-Pierre Dubost (Clermont-Ferrand).
Webmestre : Gian Paolo Renello (Salerne).
10 h |
Patrick Pollard (U. de London) |
« Corydon : rhétorique et historique » |
15 h |
Pierre Masson U. de Nantes |
« Corydon : oeuvre littéraire, oeuvre gidienne » |
9 h |
Jean Bollack (U. de Lille, Berlin et Princeton) |
« Littérature et science. Le traité du Corydon » |
14 h |
Frank Lestrigant (U. de Paris IV-Sorbonne) |
« Corydon et son double »
|
Journée d'étude organisée par Diana-Adriana Lefter (Université de Pitesti)
le 2 novembre 2012 à Pitesti (Université de Pitesti, Roumanie).
PITESTI, LE 2 NOVEMBRE 2012
FACULTÉ DES LETTRES, PITESTI
41 Rue Gh. Doja, Bâtiment B, Salle 003
Programme :
8h45 : Accueil des participants
9h00 : Ouverture de la journée d’étude – Salut des organisateurs
Stefan GAITANARU, doyen de la Faculté des Lettres
Alexandrina MUSTATEA, directrice du centre IMAGINES
Corina GEORGESCU, directrice du Département langue et littérature
Diana LEFTER, présidente du comité d’organisation
9h30 : Première séance
Modérateurs :
Mihaela MITU, Université de Pitesti, Faculté des Lettres
Diana LEFTER, Université de Pitesti, Faculté des Lettres
Katherine DOIG, Université Paris-8 Vincennes-St-Denis/ CERC Sorbonne Nouvelle-Paris 3 :
La forme épistolaire de L'immoraliste
Bianca BARTOS, Université Babes Bolyai Cluj-Napoca, Roumanie : L'immoraliste ou l'acte créateur gidien
Ramona RADOI, Université de Pitesti, Roumanie : L'immoralisme ou l'individualisme ?
Renata LOPES ARAUJO, Université de Sao Paulo, Brésil : La manipulation de la littérature dans L'Immoraliste
Florina MANDACHE, Université de Pitesti, Roumanie : L’état précaire - source de bonheur ?
Elena MATEESCU, Université de Bucarest, Roumanie : Voyage vers les profondeurs de l'âme- la soif de liberté
12h00 : Pause café
12h30 : Deuxième séance
Modérateurs : Crina ZARNESCU, Université de Pitesti, Faculté des Lettres Adriana APOSTOL, Université de Pitesti, Faculté des Lettres
Cristina ILIESCU MOLEA, Université de Pitesti, Roumanie : Les voies de la liberté absolue
Ruth MALKA, Université McGill, Canada : La mise en scène de soi dans L'immoraliste d'André Gide
Madalina STANESCU, Université « Jules Vernes » Picardie, Amiens, France : La quête de l’identité chez Gide dans L’Immoraliste et Si le grain ne meurt
Catalina CIUREA, Université de Pitesti, Roumanie : Le surhomme dans L’Immoraliste
Colloque organisé par Clara Debard (Université de Lorraine), Pierre Masson (Université de Nantes) et Jean-Michel Wittmann (Université de Lorraine)
du 27 août au 3 septembre 2012 à Cerisy-la-Salle.
Programme du colloque disponible ici.
Peter Schnyder, Martine Sagaert et Anne-Sophie Angelo
Pierre Masson et Jean-Michel Wittmann, deux des trois organisateurs du colloque
Colloque organisé par Christine Armstrong (Denison University, Ohio, USA) et Jocelyn Van Tuyl (Sarasota University, Florida, USA)
du 14 au 16 juin 2012 à Granville (Denison University, Ohio, USA).
Programme du colloque disponible ici.
Christine Armstrong et Jocelyn Van Tuyl, les organisatrices du colloque, en compagnie de Jean-Michel Wittmann et Pierre Masson
Colloque organisé par Martine Sagaert (Université de Toulon) et Peter Schnyder (Université de Haute-Alsace)
du 9 au 12 mars 2011 à Toulon (Université de Toulon).
Programme du colloque disponible ici.
Catherine Gide entre les deux organisateurs du colloque, Peter Schnyder & Martine Sagaert.
Jean Bollack, Carmen Saggiomo, Catherine Gide, David H. Walker & Justine Legrand.