Séverine Pruvôt-N'Guy a soutenu une thèse intitulée « Formes et enjeux du dialogue chez Paul Claudel, Paul Valéry, André Gide et Valéry Larbaud », à l’Université Paris Sorbonne, le 5 juin 2014, sous la direction de Didier Alexandre. Le jury était également composé de Yvan Daniel (Université de la Rochelle), Pierre Glaudes (Université Paris-Sorbonne), Emmanuëlle Kaës (UniversitéFrançois Rabelais – Tours) et Claude-Pierre Perez.
Zanna Rimpioja Riippa a soutenu une thèse intitulée "Réécritures bibliques chez Paul Claudel, André Gide et Albert Camus. Une étude intertextuelle de dix oeuvres littéraires.", à l’Université Paris 3 – Sorbonne nouvelle, le 2 octobre 2013, sous la direction de Jeanyves Guérin et de Mervi Helkkula-Lukkarinen. Le jury était également composé de Carole Auroy (Université Paris-Sorbonne),Marie-Madeleine Fragonard (Université Paris 3 – Sorbonne nouvelle) et Anne-Marie Pelletier (Université de Marne-la-Vallée).
Ahmod Ahmed Mahmod a soutenu une thèse intitulée « Le rapport à l’autre dans l’œuvre romanesque d’André Gide » à l’Université Lyon 2, le 11 avril 2013, sous la direction de Michel Schmitt. Le jury était composé également de Bruno Gelas (Université Lyon 2), Jean-Pol Madou (Université de Savoie) et Pierre Masson (Université de Nantes).
Maja Vukušić Zorica a soutenu une thèse intitulée « André Gide : les gestes d’amour – l’amour des gestes », à l’Université Paris Diderot, en novembre 2011, sous la direction d’Éric Marty. Cette thèse a été publiée en 2013 aux éditions Orizons, sous le titre, André Gide : Les gestes d’amour – l’amour des gestes (2013). Cette publication a reçu le soutien du Conseil scientifique de Paris Diderot et de la Fondation Catherine Gide.
Elsa Cellier-Dubois, a soutenu une thèse intitulée « Le personnage gidien : la réconciliation du roman et du mythe », à l’Université Paris-Sorbonne, le 12 octobre 2012, sous la direction de Bernard Vouilloux. Le jury était composé également de Didier Alexandre (Université Paris-Sorbonne), Martine Sagaert (Université de Toulon) et Jean-Michel Wittmann (Université de Lorraine).
Frédéric Guidon a soutenu une thèse intitulée « La dialectique du maître et du disciple en littérature : l’exemple du roman fin de siècle (Bourget, Barrès, Gide) », à l’Université Paul Verlaine – Metz, le 19 mars 2011, sous la direction de Jean-Michel Wittmann. Le jury était également composé de Yves-Michel Ergal (Université de Strasbourg), Sylvie Freyermuth (Université du Luxembourg) et Thanh-Van Ton-That (Université de Pau).
Justine Legrand a soutenu une thèse intitulée « Pour une nouvelle approche de la perversion dans l’œuvre d’André Gide », à l’Université de Toulon, le 9 mars 2011, sous la direction de Martine Sagaert. Le jury était également composé de Pierre Masson (Université de Nantes), Patrick Menneteau (Université de Toulon), Patrick Pollard (Université de Londres – Birkbeck College) et Jean-Michel Wittmann (Université Paul Verlaine – Metz).
Hélène Doub a soutenu une thèse intitulée « Gide, le romancier-poète. La place de la poésie dans le projet littéraire gidien de 1890 à 1911 », le 13 novembre 2010, à l’Université du Luxembourg. Cette thèse inscrite en cotutelle internationale Université de Lorraine / Université du Luxembourg était dirigée par Jean-Michel Wittmann (Université de Lorraine) et Frank Wilhelm (Université du Luxembourg). Le jury était également composé de Sylvie Freyermuth (Université du Luxembourg) et Pierre Masson (Université de Nantes).